J’ai tissé un pacte avec le peuplier à compte d’étoile vie de poussière où l’écume s’étire entre les arbres morts achevés irrespect de l’homme paisible dans la nature qui fait naufrage,
les soupirs s’entassent dans l’ombre convulsée des paupières de sel, les rivières cherchent l’air une main dans la braise du vent et lorsque je vois ce monde qui tourne comme une éponge sale, ma tête explose. (...)