’Une attention au sensible.’
« On est quand même habités par nos morts, enfin voilà, c’est pas quelque chose de tragique, c’est plutôt assez beau, les gens disparaissent et d’une manière ou d’une autre ils continuent d’exister en nous, avec nous. On peut même continuer à dialoguer avec eux, d’une façon imaginaire ou pas. Pour moi, c’est la même attention qu’au vivant, c’est la même chose, c’est une sorte de circulation. »
« Ça m’importe de m’adresser à mes semblables. »
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